mardi 19 juillet 2016

L'effet sur la santé et nos champs vibratoires des bols tibétains


LEURS ORIGINES

À l’origine, selon la légende, ce serait des forgerons nomades adeptes du Chamanisme (principes de guérison indienne) qui introduisirent ces bols au Tibet.
Par la suite, ils furent principalement utilisés par des bouddhistes japonais et ce, depuis aussi loin que l’âge de bronze.
Ces bouddhistes affirmaient que les sons issus de ces bols possédaient de puissantes propriétés curatives. C’est donc pour cette raison que même les chamans d’aujourd’hui considèrent encore ces ensembles de sons, non pas comme une musique, mais comme une approche SACRÉE aux propriétés thérapeutiques.

L’IMPORTANCE DE DÉPASSER L’OREILLE POUR RESSENTIR LES SONS

Habituellement, on part du principe qu’on écoute une musique mais dans le cas particulier des bols tibétains, il faut apprendre à dépasser l’écoute pour parvenir à RESSENTIR les sons avec toutes nos cellules.
Il ne s’agit plus seulement d’en apprécier l’harmonie sonore, il faut la laisser pénétrer en nous-mêmes en quelque sorte.
Utilisons une comparaison. Si au lieu de simplement regarder les cercles ondulatoires que formerait une roche lancée dans l’eau, vous puissiez vous trouver au cœur même de cette eau, vous ressentiriez l’arrivée successive des vagues venant s’échouer graduellement contre vous.
Votre perception serait tout autre que celle du simple regard. Il en va de même pour les sons des bols, ceux-ci ne peuvent agir que si vous les faites profondément pénétrer en vous-même.
C’est pourquoi on parle ici de  » massage sonore « . Les sons tibétains, ne peuvent prendre effet que s’ils pénètrent profondément chacune de vos cellules. Lorsque le son parvient au niveau du noyau intérieur, il le réharmonise.

L’IMPORTANCE DE LA RÉHARMONISATION

Lorsque l’ensemble du corps est réharmonisé, il retrouve son équilibre. Les techniques de respiration visent d’ailleurs le même but. Cette réharmonisation contrebalance les déséquilibres responsables de toute maladie.
Tout dans l’univers est composé de vibrations : la lumière, l’air, les couleurs, les sons, en fait tout ce qui compose la vie elle-même est fait de vibrations.
Nous sommes constamment soumis à des dissonances, qu’il s’agisse de bruits agressants, de stress, de surcharge de travail et principalement, toutes formes d’angoisses et de peurs.
Nos efforts quotidiens pour gérer adéquatement ces sources de disharmonie exigent beaucoup d’énergie de notre part.
Cela conduit souvent à un excès de fatigue, devenant graduellement de l’épuisement tant mental que physique.
Notre système immunitaire se trouvant ainsi continuellement bombardé puis affaibli, il ne parvient plus que très difficilement à conserver son harmonie. Il s’ensuit un déséquilibre qui amenuise notre capacité de réagir aux assauts de virus débouchant trop souvent sur la maladie.

LES SONS TIBÉTAINS NE VOUS GUÉRISSENT PAS, MAIS CEPENDANT ILS VOUS SUPPORTENT DANS UN PROCESSUS D’AUTOGUÉRISON.

Les sons des bols tibétains ne vous guérissent pas. Ils sont avant tout un instrument par excellence vous permettant de libérer des tensions accumulées, nuisibles à votre état de bien-être.
Aujourd’hui, si la science reconnaît aisément les bienfaits de la relaxation, il devrait nécessairement en être de même pour la thérapie par les sons tibétains, principalement parce que ceux-ci AMPLIFIENT votre niveau de relaxation à un degré encore plus profond, plus étendu, dû au fait que vous participez au RESSENTI intime de chacune de vos cellules se trouvant touchée par les sons.

INTERRACTION DES DIFFÉRENTS SONS ÉMIS PAR LES BOLS

Lorsqu’un hochet de bois (appelé aussi mailloche) est frappé sur le bol, le son harmonise tout d’abord le cœur de vos cellules. Différents sons, différentes forces, se trouvent appliqués. Chacune de ces vibrations agit différemment, c’est pourquoi il est assez délicat pour un non-initié de frapper ceux-ci sans connaître leur champ de répercussion, mais cela s’apprend.
Lorsque le hochet tourne autour du bol, ce mouvement circulaire s’appelle  » faire chanter le bol « . Comme nous l’avons déjà mentionné, ce ne sont pas tous les bols qui chantent bien. Le son qui s’en dégage a souvent été comparé à celui des effets spéciaux utilisés en cinéma, pour identifier des soucoupes volantes.
Même si l’association aux soucoupes fut possiblement inventée de toutes pièces (après tout, rares sont les personnes pouvant réellement affirmer que les soucoupes émettent vraiment une sorte de son particulier), il n’en reste pas moins que le son émis par les bols chantants n’est pratiquement jamais utilisé dans le développement d’une œuvre musicale habituelle.
Certaines personnes nous demandent souvent  » Est-ce qu’une thérapie par les sons donne toujours des résultats satisfaisants?  » Il est extrêmement difficile de répondre à cette question, car l’effet ne vient pas uniquement du son, mais surtout de VOTRE INTÉRÊT À LE FAIRE PARTICIPER à votre bien être.
Certains sons apaisent énormément le mental et qu’ils soulagent le stress accumulé. Mais même ici, il est difficile de conclure puisque le niveau de stress est totalement différent pour chaque personne.
Vous pouvez avoir de grandes préférences pour certains sons et même de fortes réticences pour certains autres. Cela est en relation avec l’énergie sonore émise et le blocage énergétique auquel ce son se heurte.
Vous n’avez pas à forcer le travail thérapeutique.  Si un son en particulier vous irrite, nous vous suggérons plutôt de mettre l’audition des sons aussi faible que possible afin que le travail se réalise tout en douceur. Même si vous l’entendez de façon imperceptible, le travail s’opérera sur le blocage si vous avez l’ouverture intérieure pour le réaliser.
Par contre, si vous ne baissez pas le volume et que le son vous irrite au plus haut point, il est peu probable qu’il en ressorte un bienfait quelconque car vous bloqueriez de vous-même le travail.

LE CHANT DES BOLS ET L’EFFET SUR NOS CHAMPS VIBRATOIRES

Lorsqu’on fait chanter le bol, cette fois le travail ne se réalise plus uniquement sur la cellule elle-même mais bien sur la circulation de vos champs vibratoires.
Nous possédons sept chakras principaux qui servent d’entrée d’énergie au corps physique. Les chamans indiens ont associé sept couleurs et sept notes de musique à chacun de ces chakras.
1. Le premier chakra est associé à la couleur rouge pour le soin des organes génitaux mais concerne aussi la vitalité en général. Il symbolise ce qui débute et ce qui se termine.
2. Ensuite, le deuxième chakra est associé à la couleur orange pour le soin des glandes surrénales et concerne donc les fonctions digestives en particulier. Il symbolise les secteurs de relation d’aide, le soutien, le désir de faire équipe, en somme la collaboration.
3. Puis, le troisième chakra est associé à la couleur jaune, identifié au centre des émotions appelé aussi plexus solaire. C’est le lien avec l’énergie artistique, la créativité, la sensibilité, le rayonnement, la soif de plaire et de séduire.
4. Vient ensuite le quatrième chakra qui est associé à la couleur verte se trouvant relié à l’énergie du cœur, à la famille, aux blessures affectives. Il se rapporte aussi à l’estime de soi, à la soif de liberté et à l’émancipation autant qu’à l’amour proprement dit.
5. Puis, le cinquième chakra est associé à la couleur bleue, en relation avec la gorge donc le secteur des communications dites ou refoulées. Concerne aussi un lien avec le besoin d’être entendu, compris, aimé et accepté par l’autre.
6. Le sixième chakra est associé à la couleur indigo en relation avec le troisième œil, donc l’intuition, la prémonition, l’univers de la dimension spirituelle de l’être et de l’âme mais aussi celle des réalisations concrètes dans sa capacité à se projeter dans l’accomplissement de sa mission de vie.
7. Et finalement le septième chakra est associé à la couleur violette. Situé au sommet de la tête, il se trouve en relation avec la sagesse, la vertu, la compassion humanitaire, l’aide spirituelle demandée et l’ascension du maître intérieur.
Ainsi, lorsque le bol chante, il vise à rétablir la bonne circulation de cette énergie entre les chakras. Nous avons remarqué que certaines personnes adorent entendre ce son tourbillonnant alors que d’autres se sentent inconfortables à son écoute.
Encore ici, il s’agit d’un processus très personnel, mais nous avons conclu que lorsque vous réalisez ce travail dans une période de votre vie où vous êtes relativement en bonne santé, un nettoyage s’effectuera en profondeur et parfois votre point de fragilité refera précisément surface afin d’être expulsé de votre corps. Un peu comme une bonne transpiration est capable de vous libérer de certaines toxines.
Cela ne signifie pas que nous conseillions aux gens de procéder à un usage aussi intensif d’écoute des sons, mais plutôt de vous y initier graduellement par de petites séances de relaxations occasionnelles afin que cet effet curatif puisse se réaliser avec plus de douceur et donc, tout en souplesse.
C’est dans cette dimension que quelques rares praticiens en massage utilisent les sons des bols, permettant ainsi à leur clientèle de parvenir à des niveaux de relaxation optimum, pour encore mieux bénéficier de leur séance de soin corporel. Les gens ayant bénéficié de cette expérience nous ont confié que même un certain temps après la fin de leur massage, les sons doux et pénétrants des bols continuaient d’exercer des ondes vibratoires dans tout leur corps. De ce fait, ceux-ci ne pouvaient s’empêcher d’en être encore plus conscients en raison de l’effet tangible ressenti.
Cet effet se remarque également lorsque le bol qui chante est placé aux abords d’autres bols possédant les mêmes propriétés puisque les vibrations ont tendance à faire chanter quelque peu les autres bols par résonance.  Ce n’est donc pas surprenant qu’il en soit de même avec l’ensemble de nos organes internes.

Pour vous donner une idée:




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