lundi 1 mai 2017

Salon de jardin en palettes


Envie de fabriquer un salon de jardin en palette ? Pas mal comme idée déco les palettes bois pour avoir une table basse, une banquette de  jardin originale, personnalisée et à petit prix ! Un salon de jardin en palette qui peut se faire avec des palettes de récup ou achetées pour l’occasion qu’importe, la démarche est sympa et facile à réaliser. Nos idées de meubles en palette pour un jardin qui mise sur le bois pour faire sa déco.

Salon de jardin en palette bois

Complément indispensable au salon de jardin en palette, la table basse. celle-ci est faite de deux palettes superposées et montées sur roulettes
Une
 table basse palette  fabriquée pour le jardin avec deux palettes conservées dans leurs dimensions d’origine montées sur quatre grosses roulettes acier inoxydables. Entre les deux plateaux, des tasseaux de section carrée de 8cm de large. Pour protéger le bois des palettes, une lasure couleur chêne rustique. Voilà une idée déco palette réalisable par tous et pour 2 francs 6 sous !


Un salon de jardin en palette à la portée de tous les bricoleurs. Pour le réaliser, il suffit d'accoler les palettes l'une à coté de l'autre après les avoir peintes
Réalisable même par un non bricoleur, un salon de jardin en palette qui s’assemble en positionnant les palettes l’une à côté de l’autre en formant un L. Ici, l’angle du canapé est constitué de trois palettes empilées mais si vous souhaitez un salon de jardin avec davantage de places assises, il suffit de remplacer deux des palettes par un large coussin. Pour compléter le salon, l’indispensable table basse palette, elle aussi est tout bonnement peinte et posée en l’état sur le sol de la terrasse.


Ambiance cocooning et déco extérieur nature, avec ce salon de jardin en palette installé sous le patio d'une terrasse en bois
Installé sur une terrasse et sous un patio en bois, ce salon de jardin en palette ajoute une touche nature à la déco extérieur. Adossé au muret du patio, ce salon de jardin à large assise se compose de quatre palettes posées à champ pour faire le dossier et de seize palettes superposées pour former l’assise du canapé. Un salon tout confort pour profiter du jardin tout l’été.


Simplissime la fabrication de ce salon de jardin en palette qui permet en plus un retour en angle. La banquette est assemblée par la répétition de blocs de 3 palettes posées l'une sur l'autre qui prennent appui sur le mur qui sert de dossier. le confort est assuré par les coussins.
Sur le même principe d’assemblage, un salon de jardin en palette complet qui ne demande aucune transformation des palettes et donc aucun outil. S’appuyant sur un mur du jardin, la hauteur de la banquette est fixée par un bloc de 3 palettes superposées qu’il suffit de multiplier pour obtenir la longueur désirée. Une simplicité à faire qui permet d’ajouter un retour pour former un salon d’angle. Pour la table basse 2 palettes également superposées montées sur roulettes.


Table de jardin faite avec des palettes en bois. Au centre jardinière plantes aromatiques integrée dans plateau de table
Le bois se prête bien à la fabrication d’une table basse palette avec un chemin de table jardinière. Pour faire la réserve qui accueillera les plantes, il suffit d’ôter les traverses de bois du centre de la palette sur toute la longueur. les morceaux de bois récupérés sont ensuite sciés d’une longueur égale à l’épaisseur de la palette et cloués ensuite dans leur hauteur sur la base de la palette. Les traverses d’une autre palette servent à fabriquer le plateau de la table. Pour dissimuler le dessous de la
jardinière, en restant dans la démarche de déco récup, des plinthes sont fixées sur le pourtour de la table. A défaut de récup, le neuf fera l’affaire.

Table de salon de jardin faite à partir de palettes bois. Une fois les palettes assemblées elles sont poncées puis peintes avec une lasure de couleur naturelle
Pour accueillir six à huit convives, une grande table de jardin fabriquée avec deux palettes en bois pour le plateau supérieur. Pour supporter le bois du plateau et assurer sa solidité, une autre palette à la base qui renforce également les pieds de la table.

Un salon de jardin en palette pour des déjeuners bucoliques. L’ensemble plateau de table, tréteaux et banc de jardin est fabriqué avec des palettes de récup puis peint avec une peinture blanche
Pour cette table de jardin et ses bancs construits dans le même esprit, les palettes bois sont utilisées pour la fabrication des tréteaux de la table, les pieds et traverses des deux bancs. Le plateau de la table et l’assise des bancs sont fabriqués à l’aide de tasseaux neufs. L’ensemble est protégé d’une peinture blanche pour un rendu très champêtre.





Salon de jardin en palette pour une terrasse en bois

Salon de jardin en palette fabriqué pour une installation en L sur 2 murs de la terrasse en bois. Assortie, une table basse en palette dont le plateau plein est assemblé grâce à des tasseaux fixés par le dessous.
Un salon de jardin en palette aménagé en L sur la terrasse en total look bois, des heures de détente garanties dès les beaux jours !
Une terrasse en bois dont on pourra être fier. Le salon de jardin en L est construit avec deux hauteurs de palettes bois posées le long des murs qui se transforme pour l’occasion en dossier pour les banquettes. D’épais coussins de mousse assurent le confort. La grande table basse demande un peu plus de transformation des palettes. Pour construire les pieds, une palette est coupée en deux dans la hauteur sur laquelle est fixé le plateau constitué de deux autres palettes solidaires grâce à des tasseaux vissés par le dessous.



Un salon de jardin en palettes ultra facile à faire qui trouve naturellement sa place sur la terrasse ! La table basse se compose de deux palettes simplement superposées pour obtenir une bonne hauteur à l'heure de sortir les verres pour l'apéro. Les fauteuils sont fabriqués partir d'une palette bois coupée en deux pour l'assise, une autre légèrement en biais forme le dos du fauteuil. La banquette est fabriquée sur le même principe d’assemblage avec cette fois deux palettes bois sur la longueur.
Sur la terrasse, le salon de jardin fait son show d’été avec les palettes !
Quoi de plus facile à faire que ce salon de jardin en palettes qui trouve naturellement sa place sur la terrasse ! Pour la table basse, deux palettes sont simplement superposées pour obtenir une bonne hauteur à l’heure de sortir les verres pour l’apéro. Les fauteuils se composent d’une palette bois coupée en deux dans la longueur formant l’assise, le dessus d’une autre forme légèrement incliné forme l’appui dos du fauteuil. La banquette est fabriquée de la même manière avec cette fois deux palettes bois assemblées et collées. Il ne reste plus qu’à poser les coussins qui peuvent se faire sur mesure ou si on est pressé, achetés tout faits. Dans ce cas, il est conseillé d’avoir les dimensions des coussins avant de couper les palettes.

Les palettes bois pour fabriquer un sol terrasse

Sol terrasse bois en palettes aménagé dans un coin du jardin. sur les 6 palettes peintes en rose fushia, transat et bidon de recup formant le salon de jardin sont repeints dans la même couleur. Sur la claustra bois fermant l’espace, des jardinières en parpaing assorties
Les palettes c’est bien aussi pour le sol de la terrasse en bois. Et peindre les palettes dans une couleur flashy, une idée déco à retenir pour le jardin !
Des palettes en bois pour fabriquer le sol d’un coin terrasse dans le jardin, c’est une idée déco très facile à mettre en oeuvre. Pour donner du caractère à cette terrasse et apporter un contraste fort avec le vert de la végétation, les palettes, le salon de jardin composé de bric et broc d’un transat en bois et de fûts de récup sont peints en rose fushia. Protégeant l’espace des regards et des coups de vent, la claustra bois suit le mouvement de la couleur flashy.


Banc de jardin fait en palette de bois de récupération.
Deux dessus de palettes encastrés se transforment en banc de jardin après avoir visser 4 tasseaux bois de 30 cm qui servent de pieds.
Quand deux palettes bois assemblées deviennent un banc de jardin sympa et confortable, ce qui n’exclut pas d’y ajouter un ou deux coussins !

Faire une banquette en palette bois, c’est ultra simple !

banquette jardin fabriquée avec palette bois peinte en blanc, pour le confort, un matelas fabriqué sur mesure et des coussins
Une palette bois, un matelas et des coussins et voilà une belle banquette pour le jardin
Une petite banquette de jardin facile à fabriquer avec une palette montée sur roulettes pour la déplacer à loisir dans tous les coins du jardin. La palette ne demande pas de transformation. Après un ponçage léger, un coup de peinture blanche, 4 roulettes fixes à frein vissées sur les angles de la palette, un matelas de mousse, quelques coussins et la sieste peut commencer. Sans compter qu’il peut être sympa d’en fabriquer plusieurs pour avoir un vrai salon de jardin en palette sur la terrasse.


Desserte fabriquée avec des palettes bois pour le jardin. Peut aussi faire un établi pour le jardin
Pour fabriquer cette table de jardin, les palettes bois ont été complètement démontées afin de récupérer les traverses pour construire ensuite plateaux et pieds. Une bonne idée pour fabriquer un établi dans le jardin ou pour avoir une table d’appoint placée près du salon de jardin d’angle en palette lui aussi.

Un salon de jardin en palette sans sa balancelle, c’est impossible !

Un salon de jardin en palette se complète de son indispensable balancelle pour profiter du jardin sans compter. Assemblée avec 2 palettes suspendues par 4 grosses cordes, une balancelle facile à faire.
Adultes et enfants vont se disputer la place pour profiter de cette balancelle en palette constituée de 2 palettes fixées sur quatre grosses longueur de corde. La première, la plus importante pour lézarder dans le jardin forme l’assise, la plus haute peut être recouverte d’une toile mobile pour s’abriter du soleil et sur les traverses de bois équipée de quelques lampions suspendus avec bougies anti-moustique histoire de passer à la belle étoile. Source : dreaminggradens.blogspot. be

Une palette pour faire la sieste dans le jardin

Faire une balancelle avec une palette bois et un matelas pour la sieste dans le jardin les enfants vont adorer s'allonger sur le matelas confortable
Il n’y a pas de raison que les enfants soient oubliés dans le jardin ! Une balancelle à faire avec une seule palette bois que l’on fixe à une branche d’arbre à l’aide de deux cordes pour balançoires rallongées de cordes de couleurs par un mousqueton pour l’attache en quatre points à la palette. Pour le confort, un petit matelas, des oreillers et la sieste au grand air peut commencer.


Cabane de jardin fabriquée avec des palettes bois. Pour faire les fenêtres retirer les traverses des palettes. peindre la cabane avec des couleurs vives c'est plus marrant pour les enfants.
Et lorsque la sieste est terminée, les enfants vont jouer dans leur 
cabane en bois que Papa et Maman ont fabriquée avec des palettes et peintes dans de belles couleurs vives.


Pour donner des couleurs naturelles au salon de jardin en palette bois et protéger le bois, lasure bois bio disponible en 1000 couleurs de Auro
Pour protéger vos meubles de jardin en palette et laisser apparentes les nervures du bois, une lasure bois naturelle à base d’huiles végétales qui se décline en 24 couleurs et donne un aspect ciré aux meubles.

Où trouver des palettes bois pour faire votre salon de jardin ?
La première astuce et gratuite est d’avoir les yeux grands ouverts lorsque vous êtes en ville. Le soir les magasins déposent sur le trottoir les palettes des livraisons reçues dans la journée. Autre  source d’approvisionnement, les grandes surfaces. Attention cependant à ne pas les prendre sans autorisation, certaines palettes (les bleus et rouges entre autres) sont consignées.

2ème solution : La recherche dans votre région sur internet. Bon nombre d’entreprises se sont spécialisées dans la collecte des palettes auprès des industriels qu’elles recyclent et revendent d’occasion aux particuliers. Pour le prix, comptez environ 5 € la palette, une somme dérisoire qui porte le prix de revient d’un salon de jardin avec sa table basse palette à environ 100 €.











Un canapé en palette compose un salon de jardin confortable

Ce grand canapé d'extérieur est confectionné à l'aide de trois palettes empilées les unes sur les autres sur trois niveaux. Pour plus de confort, des accoudoirs sont ajoutés de chaque côté de la structure avec deux palettes posées à chant. Des coussins alignés contre le mur servent de dossier. Avec ses deux tables basses coordonnées, ce salon de jardin en palette offre un environnement de détente absolu !



vendredi 13 janvier 2017

Dix étapes pour pardonner

Pardonner vraiment n’est pas chose facile. C’est un acte pourtant capital pour soi-même, avant toute autre considération. Mais il est vrai, comme pour tout ce qui se rapporte aux sentiments et à l’affect, que la confusion peut prendre le dessus sur la raison. Vouloir pardonner, c’est bien, mais cela ne garantit rien. Des blessures émotionnelles peuvent réapparaître longtemps après les faits, alors même qu’on les croyait oubliées. Quelques repères peuvent aider à cheminer vers le pardon.

pardonner vraiment

Dix étapes pour pardonner vraiment et se libérer

Les étapes pour accéder au pardon


Identifier les étapes qui mènent au pardon est une démarche à laquelle je vous invite, pour comprendre les mécanismes qui sont en jeu dans le processus blessure/pardon/guérison.

1 –  Considérer sa blessure

Cette première étape est bien sûr primordiale, avant toute autre considération : admettre que l’on est blessé.  On constate que beaucoup de personnes ne parviennent pas franchir ce cap. Pourtant, cette reconnaissance pose les bases qui permettent de ne pas sous-estimer la blessure et ses conséquences. C’est une condition pour accéder au chemin du pardon qui mène à la guérison.

2 – Refuser la souffrance

Quand on est blessé, le réflexe consiste à s’enfermer dans sa souffrance. Ce processus naturel peut rapidement se révéler comme le foyer d’une rancœur naissante. Pour s’en préserver, il faut refuser cette souffrance, la repousser.
Cela demande de la volonté. Car notre société tend à banaliser la violence tout comme la souffrance. Non, il n’est pas normal, ni acceptable de souffrir. Celui qui entretient ce sentiment restera hermétique à toute forme d’aide extérieure. Au contraire, le refus de souffrir est un moteur puissant qui facilite le franchissement des obstacles au pardon.

3 – La rancune affecte notre être

Entretenir sa rancœur est néfaste pour soi-même avant tout. Il est nécessaire de comprendre que le sentiment négatif qui nous habite alors, créé nécessairement des tensions intérieures qui nous affaiblissent.
Rien ne sert de vouloir se protéger en haïssant, c’est un leurre. En agissant ainsi, on finit par s’écarter des autres et se rendre inaccessible à l’amour dont on a tant besoin. Finalement, on a beaucoup à perdre que de s’imposer « de ne pas aimer » quelqu’un. On risque à terme de devenir responsable de son propre malheur. Ce faisant, l’illusion devient totale quand on finit par croire puis de se persuader, que tout est de la faute de l’autre.
Pour être en mesure de pardonner, il faut prendre en compte les limites de l’autre. Tout le monde peut faillir ou être vulnérable, comme « je » peux l’être également. Il appartient à chacun de ne pas se polluer l’existence en cumulant et cultivant la négativité. Une bonne méthode pour y parvenir est d’aller vers cet autre, aussi imparfait soit-il, comme je le suis également.

4 – Prendre soin de soi

Il ne faut pas négliger de panser ses blessures émotionnelles. Les traces de ces blessures peuvent être profondes, ce qui nécessite de se faire aider. Aucune honte à avoir, accepter de l’aide c’est se reconnaître en difficulté comme tout à chacun peut l’être. C’est une sorte de pardon que l’on s’accorde à soi-même de ne pas être une personne autonome et forte en toute occasion.
Accepter d’être aidé, c’est aussi s’exposer au regard extérieur, avec toute l’énergie et l’amour qu’il peut véhiculer. L’acte de soin commence ainsi, par ce sentiment d’exister dans le regard bienveillant de l’autre. C’est une preuve d’amour dont on aurait tort de se priver.

5 – Accepter que l’autre ne changera pas

Comprendre c’est pardonner

Certains y parviennent, pour d’autres c’est plus difficile et même impossible. Sont-ils condamnés pour autant  ? Non bien sûr. Quand ni la situation, ni les ressentis n’apparaissent de façon claire, il est plus utile d’accepter le fait que chacun puisse être faible que de s’entêter à comprendre pourquoi.
Une autre erreur consisterait à attendre une réparation de la part de celui qui nous a offensé, ou encore : de s’attendre à ce qu’il change. Il est tentant que de se conforter dans cette idée que la solution viendrait d’ailleurs que de soi. Cela nous empêche d’avancer et amène à ne rien entreprendre de son côté.

6 – Questionner ses sentiments

Quand enfin, on pense en avoir fini, il n’est pas inutile de le vérifier. Pour savoir si on a réellement pardonné, on ne doit ressentir aucune blessure à l’évocation des événements passés. Le sentiment d’avoir véritablement tourné la page doit être sans ambiguïté. Il est nécessaire d’être aussi honnête que possible avec soi-même.
Car si certaines blessures passent avec le temps, d’autres restent vives, mal dissimulées derrière un détachement de façade. Mais on ne trompe pas son subconscient. Tôt ou tard, notre corps exprime par différents symptômes possibles les maux de notre esprit.

7 – Travailler à l’origine de la rancœur

Il apparaît bien que les blessures qui persistent sont à l’origine de la rancœur. Les plus traumatisantes peuvent ne pas se cicatriser toutes seules. On voit bien qu’il ne suffit pas de vouloir pardonner pour que cela fonctionne. Les émotions doivent êtres débloquées pour rendre le pardon possible. Car le risque est bien celui d’entretenir une rancœur tenace, avouée ou non, mais belle et bien néfaste.

pardonner vraiment


8 – Les faux pardons à éviter

Le pardon n’est en aucun cas une obligation. On ne pardonne pas pour faire plaisir, ni par crainte ou même par politesse. Aucun bénéfice à attendre de ce côté là. Au contraire, il faut nécessairement s’attendre en retour à de justes conséquences.
Car le faux pardon est une illusion qui peut se transformer en punition pour son auteur, au niveau de ses relations sociales, de son amour propre, de sa santé psychique et jusqu’à sa santé physique.

9 – Pardonner pour flatter son ego

Une autre erreur consisterait à se réjouir outre mesure d’avoir su pardonner, ou bien de se croire meilleur que celui qui n’aurait pas su le faire. Même si l’acte du pardon est noble, le réduire à n’être qu’une performance personnelle ne fait que révéler l’absence de détachement pourtant indispensable à un réel pardon.
Cela traduit immanquablement la présence d’une blessure non résolue. La personne concernée n’est pas prête pour pardonner.

10 – Un pardon ne constitue pas une excuse

Pardonner est différent du fait d’excuser. Quand on abandonne tout ressentiment négatif ou toute rancune, cela ne consiste pas à considérer que les faits n’ont pas eu lieu, ou que rien ne s’est passé.
Le pardon sincère de la victime enlève à l’agresseur du poids de sa dette. Mais un acte répréhensible reste un acte répréhensible, qu’il soit pardonné ou non. En d’autres termes, le responsable doit réparation pour sa faute auprès de la victime et jusque devant la justice selon la situation concernée.

Vous disposez maintenant des outils essentiels pour pouvoir pardonner

Peut-être pourriez-vous décider de revisiter de vieilles rancœurs ?  Les quelques points abordés ici doivent permettre à chacun d’accéder au vrai pardon. N’hésitez plus, il n’y a aucune raison de croire que ce sont les faibles qui pardonnent. Bien au contraire, car en réalité il faut du courage pour parvenir à se libérer du poids de la rancœur, pour se réaliser dans la relation.




vendredi 2 décembre 2016

Les personnes qui entrent dans notre vie sont notre miroir


N’est-ce pas fascinant de savoir que vous pouvez apprendre à vous connaître grâce au reflet que les autres vous renvoient ?
La théorie du miroir est un outil très puissant qui nous permet d’évoluer grâce à nos relations. Selon moi c’est l’outil le plus efficace pour devenir conscients de qui nous sommes réellement. Encore faut-il savoir et avoir envie de l’utiliser a bon escient.
Il nous est souvent difficile d’admettre et reconnaître que l’autre puisse être notre miroir surtout lorsqu’il se comporte d’une manière qui nous offusque. Comment l’autre peut-il l’être alors que nous trouvons justement son comportement désobligeant ou déplacé ? Nous n’oserions certainement pas nous comporter de la sorte, nous ! Et pourtant l’autre nous renvoie véritablement notre reflet. Il s’avère simplement que nous n’en sommes pas conscients et que la plupart d’entre nous ne savons pas interpréter cette approche. Généralement, nous avons plutôt tendance à accuser l’autre et à vouloir le changer lorsqu’il nous dérange, plutôt que d’utiliser cette occasion pour apprendre à nous connaître à travers le reflet qu’il nous renvoie.
Lorsque vous vous regardez dans un miroir et que vous y voyez un aspect de vous qui vous dérange – comme par exemple, le fait de trouver votre corps disgracieux, ou des boutons sur votre visage, ou une peau ridée – cela ne vous viendrait certainement pas à l’esprit de jeter votre miroir ou de le briser car vous savez que cela ne changerait rien aux aspects que vous venez de constater en vous. C’est pourtant ce que nous faisons la plupart du temps lorsqu’une personne nous dérange. Elle est notre miroir mais nous rejetons ce que nous voyons en elle et qui est pourtant notre reflet. En faisant cela nous ne réglons rien et l’aspect qu’elle nous renvoie et que nous possédons ne s’effacera pas pour autant. Au contraire, il continuera de persister à travers le reflet que nous renvoie cette personne ou à travers d’autres personnes à qui nous dérangerons de la même manière.
Pour comprendre cette théorie il est nécessaire d’intégrer que ce n’est pas le comportement de l’autre qui est notre miroir mais l’aspect en lui qui nous dérange. C’est ce que nous lui reprochons au niveau du ÊTRE et non au niveau du FAIRE qui est notre reflet.
Nous possédons naturellement ce même aspect et très souvent nous nous contrôlons pour ne pas le montrer parce que selon notre système de valeur ce n’est pas correct d’Être ainsi, c’est ce que nous avons appris et que nous avons reçu comme enseignement.
En fait, il n’y a rien que nous ne puissions voir chez l’autre qui n’existe pas en nous et ce que nous voyons chez l’autre est encore plus accentué chez nous. Tout ce que nous voyons à l’extérieur de nous est un reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Les aspects que nous n’aimons pas chez l’autre, nous ne les aimons pas non plus en nous. Nous avons besoin d’apprendre à devenir conscients et à aimer ces aspects en nous. Lorsque nous les aimerons en nous, nous les aimerons aussi chez les autres et les autres ne nous dérangeront plus. Nous ne remarquerons même plus ces aspects chez les autres. Nous sommes tous ici pour apprendre à nous aimer totalement et inconditionnellement, c’est-à-dire, tels que nous sommes, avec nos aspects sombres et nos aspects lumineux. C’est le seul moyen pour parvenir à la transformation. Nous ne pouvons rien transformer en nous sans en être d’abord devenus conscients, puis, l’accepter. C’est à partir de cette attitude que notre vision de la vie se transforme de manière extraordinaire.
La raison pour laquelle nous ne voulons pas admettre et accepter que l’autre nous renvoie un reflet de nous-mêmes c’est parce que nous sommes persuadés que cette attitude fait de nous des êtres meilleurs que nous ne pensons l’être en réalité. Nous nous mentons à nous-mêmes ! Nous nous faisons croire que nous sommes meilleurs que ce que nous voyons chez l’autre mais ce n’est qu’une illusion et tant que nous continuerons dans cette inconscience nous n’effaceront pas notre souffrance. Cette attitude nous garde prisonniers de notre souffrance et ne donne aucun résultat. Nous souffrons parce que nous nous renions. Tant que nous n’aimerons pas ces aspects en nous que nous rejetons, notre souffrance ne fera que grandir. Ne pas vouloir voir l’aspect que l’autre nous renvoie c’est se renier et nous le faisons parce que nous avons des peurs. Nous avons peur d’être jugés, peur de déplaire, peur d’être abandonnés, peur d’être rejetés, peur d’être ridicules, etc. Plutôt que de fuir nos peurs, il est nécessaire d’en devenir conscients, de les reconnaître et les affronter.
Lorsque votre partenaire vous dérange, demandez-vous ce que vous lui reprochez, non pas au niveau de son comportement, mais de ce qu’il EST , selon vous, lorsqu’il se comporte ainsi. La réponse que vous trouverez à ce questionnement est l’aspect que vous possédez, vous aussi. Cet aspect vous l’avez soit envers vous-mêmes, soit envers d’autres personnes, ou les deux à la fois et vous pouvez avoir cet aspect dans divers domaines et dans toute sorte de relations. Une fois que vous l’aurez reconnu, demandez-vous qu’elle est la peur inconsciente qui vous empêche de reconnaître cet aspect en vous et de l’assumer. Vous comprendrez alors pourquoi vous rejetez autant cet aspect. Ensuite essayez de vous souvenir et de devenir conscient d’une circonstance où vous avez eu ce même aspect et vérifiez quelle était votre motivation dans cette circonstance. Cela vous permettra de comprendre que la personne qui est votre miroir a elle aussi une motivation personnelle à se comporter ainsi avec vous et qu’elle n’a pas intentionnellement prévu de vous blesser.
Voici un exemple qui illustre bien cette approche : j’ai souvent attiré des partenaires à qui je reprochais leurs comportements démontrant qu’ils ne voulaient pas s’engager dans une relation durable avec moi. Un de ces comportements étaient notamment le fait qu’ils commençaient par me séduire mais qu’après la phase de séduction, lorsque j’étais prête à m’engager dans la relation, ils commençaient à prendre leur distance et c’était à ce moment là que je m’accrochais à eux de peur d’être abandonnée. Je leur reprochais donc d’ÊTRE des hommes immatures et je ne voulais pas voir que j’étais moi-même une femme immature lorsque je m’accrochai à eux.
Je le faisais parce que j’avais peur de les perdre, peur d’être abandonnée, mais je n’en était pas consciente et surtout je ne voulais pas reconnaître ni assumer cette peur en moi. Nous avons peur d’affronter nos peurs, c’est pourquoi nous les occultons. Une fois que j’en ai pris conscience et que j’ai assumé cet aspect en moi – le fait que j’étais une femme immature quand je m’accrochai – je me suis demandée quelle était ma motivation dans mon comportement et j’ai réalisé que c’était mon besoin d’Être sécurisée par mon partenaire et de fuir ma peur d’être abandonnée. En réalité mon véritable besoin était d’Être sécurisée par moi-même car aucune personne autre que nous-mêmes ne peut nous sécuriser.
C’est en questionnant de nombreux hommes ayant vécu ce genre de situation que j’ai réalisé que leur motivation dans leur comportement était également un besoin d’être sécurisés, non pas par leur partenaires, mais par rapport au fait de conserver leur liberté. Ils n’ont donc pas ce comportement avec l’intention de nous blesser mais pour répondre à leur besoins.
J’ai alors compris que l’autre est notre miroir, dans le sens où il nous montre un aspect de nous dont nous ne sommes pas conscients et que nous renions mais également dans le sens où il se permet d’agir comme nous aimerions le faire et dont nous nous donnons pas ce droit à cause de nos peurs. 
Nous nous empêchons donc d’ÊTRE qui nous sommes réellement dans le moment présent. Nous faisons cela parce qu’à ce moment là nous ne sommes pas qui nous aimerions ÊTRE et nous croyons que c’est en agissant ainsi que nous finirons par le devenir. Mais c’est tout l’inverse qui se produit ! Et c’est un cercle vicieux qui se répète sans cesse dans notre Vie car nous utilisons toujours le même procédé qui ne fonctionne pas. Nous avons beau constater que ça ne fonctionne pas, nous continuons de nous comporter comme nous l’avons toujours fait. 
Sachez que le seul moyen pour devenir ce que vous voulez ÊTRE c’est d’abord d’accepter d’ÊTRE ce que vous ne voulez pas ÊTRE. Il n’y a pas de transformation sans acceptation ! Vous devrez d’abord devenir conscient de qui vous êtes maintenant. Vous aimer et vous accepter tel que vous êtes maintenant, pour pouvoir devenir qui vous voulez ÊTRE.
Ce travail n’est possible que grâce au miroir qui nous reflète qui nous sommes dans l’instant présent. Voilà pourquoi la Vie nous envoie sans cesse nos propres reflets par le biais de personnes qui nous sont proches ou par des personnes qui croisent notre route parfois uniquement dans cet objectif. Et dans chaque histoire le mot de la fin revient encore et toujours à l’AMOUR ! L’Amour que nous avons pour nous-mêmes. Aimons-nous tels que nous sommes !


cet article a été écrit par Cristina Marques

jeudi 1 décembre 2016

Un sapin de Noël original à faire soi-même

Un sapin de Noël original sans épines que les enfants comme les adultes prendront plaisir à réaliser de leurs mains. C’est aussi l’occasion de recycler quelques décorations de noël des années précédentes. Ce sapin pliable fait maison a décidément bien des atouts pour plaire.


Anne, du blog Überall & Nirgendwo, propose de réaliser un sapin pliable, un sympathique arbre de Noël transportable idéal pour les citadins. Compact et facile à ranger, il permet de fêter Noël n’importe où.
Alors, allez-vous renoncez vous aussi au sapin de Noël classique? Ou profiterez-vous simplement de cette belle occasion d’occuper vos enfants quelques heures, à créer de leurs mains le sapin qui viendra ensuite compléter les décorations de la maison?

1 – Rassemblez quelques bâtons

Quittez vos pantoufles et sortez dans les bois pour ramasser des branches ! Une balade en forêt est l’occasion idéale de réunir les éléments qui vous serviront à fabriquer votre arbre de Noël pliant.
Une dizaine de bâtons convient pour un petit modèle, jusqu’à une vingtaine de branches pour les plus ambitieux. Attention toutefois au poids total de votre sapin terminé.

2 – Raccourcir les morceaux de bois

Coupez les morceaux de bois à la longueur appropriée avec, selon leur épaisseur, un sécateur ou une petite scie.
Pour vous aider, disposez les bâton alignés devant vous, en les espaçant un peu.
Puis tracez à la craie chaque branche afin de tracer la forme générale d’un sapin de Noël.
Astuce : les branches les plus épaisses trouvent naturellement leur place vers le bas du sapin, placez les plus fines vers le haut, votre sapin n’en sera que plus joli.

3 – Fixer les branches entre elles

Attachez ensemble les morceaux de bois à l’aide d’une ficelle résistante. Prévoyez une boucle au sommet qui permettra de suspendre l’arbre de Noël.

4 – Coller boules et guirlandes

Vous pouvez à présent fixer sur les branches, au pistolet à colle chaude, les décorations de Noël de votre choix. Ce mode de fixation aura l’avantage de maintenir les décoration en place au moment ou vous déplacerez, ou rangerez votre sapin. Notez toutefois qu’il est possible d’opter pour une fixation classique et démontable à souhait, en utilisant du fil de couture, de la laine, du fil de fer plastifié (celui utilisé pour fermer les sachets congélation), etc…

5 – Mettez votre touche personnelle

Les boules et guirlandes c’est bien, mais ce ne sont certainement pas les seuls éléments de décoration pouvant mettre votre arbre en valeur. Les matières colorées, brillantes ou soyeuses… une multitudes de matériaux peuvent être détournés de leur usage afin d’embellir votre arbre de noël. Quelques nœuds de jolie ficelle ou rubans et encore quelques étoiles de feutrine blanche sont faciles à confectionner. Donnez-vous-en à cœur joie et décorez le sapin comme bon vous semble ! 

sapin de noël original

5 –
 BRAVO ! VOUS AVEZ TERMINÉ !

Voici quelques exemples de réalisations de sapin de Noël  en bois. Peut-être y trouverez vous l’inspiration ?

Source : dawanda.com et le Überall & Nirgendwo